• Histoires de beaufs-bof...







    visez un peu les descendants
    (clic sur l'image)





    les beaufs ?




    Ces histoires ne présentent pas grand intérêt
    elles sont franchouillardes
    tout le monde les connaît ou presque...
    mais elles m'ont arraché un sourire
    et en ces temps de vaches maigres
    pour moi c'est beaucoup...
    et pour vous ?

     

    je vous les livre sans trop de fioritures...
    mais avec quelles images pas très pieuses...

    Miracle...

    Un Allemand, un  Anglais et un Français mangent dans un restaurant.  La
    personne qui mange en face d'eux ressemble beaucoup à Jésus.
     A la fin,  l'Allemand veut en avoir le cœur net, il se lève et va voir le  type :
     — Vous savez que vous  ressemblez beaucoup à Jésus ?
     — Je suis Jésus.
     —  Ah quelle chance ! Je suis un fervent catholique et, justement  j'ai un
    terrible mal de tête…
    Jésus tend la main, touche son  front et le guérit
     L'Allemand revient à sa table et  raconte
     L'Anglais se lève à son tour  et va voir Jésus :
     — Je ne suis peut-être pas très catholique mais crois en vous et j'ai horriblement  mal au bras…
     Jésus touche son bras et  la douleur disparaît
     L'Anglais revient à sa table et  raconte à son tour.
    Le Français reste assis à sa place. Au  bout d'un moment, Jésus s'interroge  
      et se lève à son tour et  s'approche.
      — Et vous, dit-il au Français, vous  n'avez mal nulle part ?
     — Surtout, ne me touchez pas ! Je  suis en arrêt maladie !


    bof...

    à bas l'opium du peuple comme disaient les Marx Brothers
    (clic sur l'image)


    Pauv' paysans bien de cheu nous...


    Un fermier et sa femme ont créé une table d'hôtes avec gîte attenant.
    Après un séjour de trois jours où la maîtresse de maison l'a choyé tant au point de vue nourriture que pour tout ce qui conserne le confort personnel, un client Parisien demande au fermier :
    - Comment faites-vous à la campagne pour avoir des femmes aussi chaleureuses, douces et bien élevées ? Chez nous à Paris, on ne peut rien leur demander. Elles sont agressives et stressées...enfin rien à voir avec les femmes d'ici !
    Là, le fermier lui répond tout naturellement, avec un bon accent :
    - On les élève comme les cochons, au gland et à la châtaigne !

    re bof

        oui mais...
    (clic sur l'image... et tenez-vous à la rampe)


     


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