Jean-François GALEA - peintre, sculpteur, décorateur, illustrateur, né à Alger en 1944 est un artiste français
   

 Farandole arlésienne

La télévision régionale et le quotidien "Midi Libre" m'apprirent  récemment que vivait et travaillait à  quelques kilomètres de chez moi un Artiste peintre de grand talent
Avant d'écrire quoi que ce soit à son sujet, je lui demandai s'il pouvait m'accorder un rendez-vous...
il accepta sans hésitation quand je lui eus dit pourquoi je le sollicitais ainsi
 La rencontre fut particulièrement enrichissante pour moi
Il me fit visiter son atelier
et me montra quelques-unes de ses œuvres

C'est un grand Artiste et un homme fort sympathique.
Certaines de ses toiles permettent  de voir son sens de l'humour...

"En 1959, il s'inscrit à l'école des beaux-arts de Saint-Étienne. En 1963, il obtient le « certificat d’aptitude à une formation artistique supérieure » (CAFAS) et devient élève du sculpteur Léon Bosramiez, Prix de Rome 1947. En 1965, il obtient le Diplôme national des beaux-arts de décoration plane.
De 1965 à 1967, il travaille dans l’atelier de Claude Weisbuch, spécialiste en lithogravure et pointe sèche, et obtient en 1967 le diplôme national des
 beaux-arts de gravure et illustration - major national en dessin.
en 1967 le diplôme national des beaux-arts de gravure et illustration - major national en dessin.
il devient professeur d'Art"
(d'après wikipedia)

Farandole en émaux de Longwy

bronze - Camargue

 Adam et Eve - Plat en porcelaine à décor peint signé  27 x 27

autoportrait 1977

 L'artiste devant son mas et le Triptyque pour Douaumont
(photo Midi Libre)

Jean-François Galéa commente son œuvre, qui sera présentée au Salon des artistes français  en 2014-2015, en hommage aux soldats.
 Il imagine les trois scènes terminées, avec, en fond, l’extrême lueur des combats. 
Dans quatre mois.  le tableau  rejoindra alors l’ossuaire de Douaumont,  près de Verdun, la nécropole nationale à laquelle elle sera cédée.
A Aimargues (30), sur le chevalet de son atelier, Jean-François Galéa a déposé l’une des trois parties de son œuvre. 
"Il ne sera pas terminé avant le printemps prochain. J’ai encore beaucoup de choses à revoir ou à reprendre. Je ne sais pas encore si je ne vais pas ajouter une partie supérieure qui viendra coiffer le tout", explique Jean-François Galéa.
Depuis quatre mois, il s’applique à réaliser un triptyque, d’une longueur de 7,50 m, sur le thème de la Grande Guerre :
 "Je dirai simplement qu’il s’agit du tableau du centenaire 14-18. J’ai souhaité rendre hommage aux milliers de soldats, alliés et allemands, qui sont tombés pendant ce conflit."
près de Verdun dans la Meuse, où elle sera exposée dans le cloître.
 
Au tout début de ses esquisses, Jean-François Galéa ne pensait réaliser qu’un seul tableau, dédié aux poilus :
 "J’ai alors passé un coup de téléphone à un ami pour lui en parler. Il m’a assuré qu’il serait bien d’ajouter un casque allemand.
J’ai alors eu l’idée de réaliser une deuxième toile sur les soldats allemands et, enfin, une troisième sur les soldats, de toutes nationalités confondue
Ainsi, sur le tableau central, il a posé des hommes, morts au combat, sous les uniformes français, allemand, britannique, américain, sénégalais… 
"J’ai travaillé avec des documents historiques pour être crédible. Je me suis refusé à sacrifier le réalisme à l’esthétique. Sur les champs de bataille, la souffrance et la mort étaient bien réelles. J’aurais pu divaguer, je ne l’ai pas voulu."

(d'après l'article de JEAN NOTÉ-Midi Libre)
   

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 Autoportrait 70