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    Par jean--marie le 30 Juin 2012 à 12:00

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    Le Grand Oeuvre républicain ou les fastes (presque) posthumes de la Gueuse...

    (apocalyptiques hallucinations)

    Les pharaons ont eu leurs pyramides,
    les rois ont laissé leurs palais,
    les évêques leurs cathédrales,
    les seigneurs leurs châteaux.
    Lénine a son mausolée,
    ce grand con l'a pas fait exprès,
    Franco la vallée de Los Caïdos...

    Nos présidents de la 5ème
    (pas dynastie, ils sont trop courts),
    en père la colique
    ont fait oeuvre magnifique...
    Pompidou a son usine à gaz
    à Beaubourg,
    que l'on appelle depuis Laidbourg
    et qui nous ruine en entretien.
    Giscard a Vulcania 
    (la montagne qui fait pschitt...)
    Miitterrand a mis un opéra déglingué
    dans une gare et, sans trop savoir lire,
    sa grandissime bibliothèque dans un aquarium.
    Chirac a son musée des arts premiers
    qu'on appelle aussi musée du quai branleur
    (excusez, je ne connais pas Paris)...

    Quelques individus mal intentionnés
    et sans le moindre respect
    ont avancé certaines idées
    pour agrémenter ces deux derniers édicules
    (c'est vraiment ridicule,
    pardonnez le lapsus)
    ces deux splendides édifices.

    Avant que le François-machiavel-du-pauvre
    ait fini de se décomposer
    on devrait aller quérir
    un peu du cuir
    du cher disparu
    pour agrémenter la salle
    des parchemins
    (il faudrait en laisser un morceau naturellement
    à la bibliothèque mazarine)

    Comme jadis au musée de je ne sais trop quoi,
    un malheureux indigène,
    on pourrait présenter Chirac empaillé
    mais il ne s'est pas encore laissé faire...
    alors on pourrait dans ce cas
    utiliser les sombres fadas
    de la Tribu Ka
    (traduit du simili-swahili bègue le troupeau caca)
    Le génial concepteur élyséen
    avait eu une idée géniale (!)
    placer à l'entrée du musée
    une boîte de Banania,
    vous savez y'a bon en chéchia,
    mais SOS, y a racisme...
    et Chirac s'est repenti
    dans les bras de Bouteflika
    qu'est-ce qu'il vient foutre là
    celui-là ?
    je vous le demande...

    Je suis à court d'idées, il se fait tard...
    à vous, amis des beaux-arts,
    (trop souvent laids arts,
    excusez encore, suis fatigué,
    réveillez-vous, sacrés lézards ! )
    de présenter sans prétention
    d'autres suggestions.

    oh, putain, j'ai oublié De Gaulle !
    je rigole...
    Comme plus beau des monuments
    il nous a donné la cinquième
    qu'on aime
    tant.

    Et tant et tant...

    Dans la pauvre France envahie
    on n'entend plus que des tam-tams,
    et des aboyeurs pour l'islam.
    Les pascales cloches trahies
    ne savent plus où foutre le camp...

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    articles attendant d'être remis dans les bonnes rubriques

    Police et politique, police politique…
    Tcheka, Guépéou, KGB, Gestapo, Stasi, Securitat, Escadrons de la mort… etc. etc.
    Brrrr… Quelle horreur !
    On est bien loin de tout ça dans notre douce (?) France.
    Ouais.
    Les dernières élections professionnelles chez nos flics ont vu l’UNSA (Union Nationale des Syndicats Autonomes, je crois…) prendre une avance sur les autres organisations syndicales. Cette organisation rassemble d’anciens groupes non affiliés à une des grandes confédérations (d’où l’appellation d’autonome) : syndicats de cheminots, de policiers et d’enseignants puisque la très gauchisante FEN (Fédération de L’Education Nationale) est devenue en 2000 UNSA-Education.. On trouve aussi à l’UNSA des gens venus d’autres secteurs, des dissidents de FO. Elle recrute surtout dans la fonction publique mais tente de s’implanter dans le secteur privé.
    Bien…
    Mais…
    Mais nos tripatouilleurs habituels de l’information (tous médias confondus) ont bien eu soin de préciser, en rendant compte du résultat des susdites élections professionnelles, que le syndicat arrivé en tête était « proche de Ségolène Royal » (donc du PS).
    Aucun démenti indigné.
    Dont acte.
    Et alors ? rien sinon que le rapprochement syndicat-parti politique est déjà suspect… nous y reviendrons.
    Et puis il y a eu le match de foot (je déteste de plus en plus le foot) du PSG contre un club israélien et la mise à mort par un policier d’origine antillaise (un des futurs discriminé positif ?) d’un jeune présenté comme un houligan. Voici l’extrait d’un article paru dans le blog du groupe identitaire G.R.I.F * (oui, je sais nos bonnes âmes vont faire une moue désapprobatrice, j’ai vraiment de « mauvaises » lectures ) mais les faits sont têtus :
     « Le Nouvel Observateur » (meilleure lecture ?) « nous rapporte la déclaration démentielle qu’a prononcée le secrétaire général de l’UNSA-Police, 1er syndicat français de policiers, proche du PS et grand vainqueur des dernières élections professionnelles, un certain Joaquin Massanet. Suite à la mort de Julien, supporter du PSG, il a déclaré : “Il faut éradiquer ces gens-là. On n’a pas le droit de tenir de tels propos xénophobes”. D’après le “Robert Quotidien”, éradiquer veut dire “supprimer complétement”. Par conséquent, dans les circonstances actuelles : un policier qui abat un homme (même s’il s’agit d’une “légitime (?) défense”), la déclaration du chef du premier syndicat de policiers de France est un véritable appel au meurtre ! En somme, la police républicaine peut tuer des hommes impunément, du moment qu’ils sont ‘’ xénophobes’’ ».
    Même plus besoin du falot.
    Tout est dit.      
    Une police se met au service d’un parti politique ?  
    Peut-être pas tout à fait encore, mais la pente est glissante…
    D’ailleurs, il y a deux domaines où la présence de syndicats me paraît totalement aberrante : la police et la magistrature.
    Les erreurs y sont irréparables.
    On n’a pas besoin d’être grand clerc pour se rendre compte des liens étroits entre des syndicats et (au moins) certaines options politiques ainsi que des risques que cela comporte pour le maintien de l’ordre et la sérénité de la justice.
    La neutralité ?  
    L’objectivité ?  
    Les grandes protestations d’honnêteté n’y changeront rien !  
    Il est naturel qu’un homme qui croit fermement ait des préjugés.  
    Il pourra les surmonter ? Individuellement, certainement.  
    Mais s’il est pris dans un engrenage…  


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    **********

    Encore un défilé... 

    Décidément, dans l'éducation nationale, ça dégringole chaque jour un peu plus, ça ne finit pas de tomber.
    Les chefs d'établissement et leurs sous-fifres ont fêté hier Halloween avec un peu de retard et à leur manière. Réjouissance tardive donc, mais aussi horrifiante et ridicule que celle de leurs potaches en goguette...
    Que peut-il y avoir, en effet, de plus démoralisant que de contempler ces hauts dignitaires de l'ordre du grand mammouth paradant, faisant les cons à la mode cégétiste, tambourinant et éructant, sur des rimes approximatives, des chants débiles. Il paraît que certains d'entre eux s'inscrivent même à des cours de rap auprès des "pauvres jeunes démunis des banlieues" afin de peaufiner leurs prochaines performances...
    Ils manifestent, paraît-il, contre "la dégradation de leurs conditions de travail". Quand on voit l'état de la maison, véritable cataclysme auquel tout ce beau monde ( les chefs en question ne sont pas les seuls) a peu ou prou participé, on ne peut que se demander s'il est encore temps d'agir...
    Revendication d'apparence fort honorable...
    La bonne blague ! on n'ose pas crier "on veut du fric"...
    On n'est pas n'importe qui, nous autres !
    Non,mais...

    **********

    Injures suprêmes...

     

    L'inspiration ne venant pas facilement ces jours-ci, je suis allé me promener sur quelques sites...  Cela relevait presque, parfois, de l'exercice masochiste. Mais recevoir quelques coups de pied au cul, de temps en temps, ça ne saurait faire de mal. La manoeuvre peut être même salutaire et elle rend modeste : nos arguments ne sont jamais totalement imparables et nos adversaires (même si certains se veulent nos ennemis irréductibles et débordent de mépris et de haine...) sont le plus souvent gens respectables, seulement aveuglés. Nos arguments, nos adversaires, ceux de ma famille de pensée qualifiée bien souvent d'extrême... (droite, bien sûr...) Tout ça donne à réfléchir. Je ne vais pas faire amende honorable, je ne vais pas présenter de plates excuses... sinon parfois, en ce qui concerne mon blog, pour un ton trop délibérément provocateur et un langage particulièrement grossier (les méchants diront vulgaire ou ordurier... j'aime pas...).
    J'ai l'esprit plutôt consensuel, aujourd'hui...
    Je reviens d'un passage sur un site très catholique (remarquable) puis d'une visite au blog (très intéressant et fort bien construit) d'une personne qui déchaîna la tempête, il y a quelques mois dans le forum d'OB. Avec les catho, il y a un certain nombre de compatibilités et des incompréhensions, avec le discours présenté sur l'autre site, c'est plus grave : incompréhension et incompatibilité quasi-générales, mises à part quelques rares indignations...
    Alors ? Il reste à s'expliquer sur certains mots qui n'ont pas, semble-t-il, le même sens, la même portée, les mêmes connotations pour les uns que pour les autres. Je viens, au cours de ma plus récente pérégrination de rencontrer un article intitulé "racisme et homosexualité". Force est de constater que bien des gens mélangent tout et la confusion est source de querelles (le mot est faible) interminables. Je sais que je m'avance en terrain miné. Tant pis, je fonce...
    Le racisme, pour moi, c'est la notion de la domination d'une race. Cette race est meilleure que toutes les autres. Le Littré nous indique fort justement que "le racisme est la théorie qui établit la suprématie d'une race sur une autre". Je ne suis donc pas raciste puisque je ne considère pas que ma race (la"blanche") est la meilleure. Par contre, quand je vois ce que l'on a ajouté à cette définition simple et très claire, je crie à l'escroquerie. Toujours le Littré : racisme, hostilité forte envers une catégorie de personnes. comme exemple : racisme envers les homosexuels !!! J'ai envie de hurler. J'estime avoir le droit de ne pas aimer ces gens-là sans risquer d'être poursuivi pour racisme (on m'a tout de même enlevé le droit de dire ce que je pense franchement et vertement de leurs pratiques). Peut être m'enlèvera-t-on un jour le droit de penser... J'ai le droit, jusqu'à présent, me semble-t-il, de me moquer des blondes, mais pas de critiquer la catégorie précédemment citée ? J'ai encore le droit de me moquer des Belges... C'est idiot mais ça fait rire dans les salons...
    On voudrait m'empêcher de railler les croyances et les rites de certaines religions totalement étrangères à notre civilisation. Alors que n'importe qui à le droit de se moquer de la religion chrétienne, n'importe quand et n'importe comment...
    Etrangères... Je suis peut-être (un peu) xénophobe mais si les étrangers, entrés chez nous par effraction, ne cherchaient pas à me nuire, n'essayaient pas de m'imposer leur façon de vivre sans aucunement respecter la mienne, si les futurs "néo-discriminés positifs" ne cherchaient pas à subsister constamment à nos crochets, je serais beaucoup plus tolérant...
    Raciste pour certains, homophobe, xénophobe, et injure suprême, celle qui renferme et résume toutes les autres "fasciste", souvent accompagnée de fioritures: "nazi, nazillon à deux balles" etc, etc. Fasciste, tout est dit, la pièce est jouée... Ce mot est omniprésent. Il suffit. "Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage". C'est le "gavatx ! " méprisant des Catalans, c'est le "Juif " de Céline, le bouc émissaire, la bête à abattre. On vous accusait de sorcellerie, vous étiez morts. On vous traite de fasciste et vous tombez dans la caste des parias (sans être intouchable puisque la "justice" peut vous atteindre à tout moment). Il n'y a de la part des imprécateurs ni réflexion profonde ni référence historique mais la seule volonté de nuire. La plupart des systèmes fascistes n'étaient pas racistes à l'origine. En période de crise, leur but premier était de rétablir l'ordre. La dictature suivit mais il y eut des dictateurs de tout  bord.
    Il y a des mots qui séparent, il y a des mots qui tuent.
    Alors, si l'on ne peut discuter, essayer de discuter,  sans entendre de tels qualificatifs, je revendique tout, à seule fin de me sentir le plus éloigné possible de ceux qui m'en affublent.
     C'est fort dommage.
     Je m'absous.
     

     

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    Brèves nouvelles des marchés plus ou moins agricoles, des mal-torchés et autres diafoirus... (fable grotesque)

     

        Le PC(F), accompagné de ses appendices alimentaires, vend des légumes sur la place publique. Après s'être vendu lui-même pendant des décennies à l'étranger et aujourd'hui encore à tout ce qui compose la racaille anti-française, il veut jouer les bienfaiteurs . Trop tard. Pour lui, les carottes sont cuites...
       Toujours dans le domaine agricole : Un faucheur d'OGM, émule du José Grand Bovidé (même si cet individu  se réclame d'une prétendue CNT  - des résidus des anarchos auxquels (entre autres)  Franco avait foutu la rouste que l'on sait  ? ou alors ai-je mal lu ou mal entendu...), donc le dit faucheur refuse le prélèvement d'ADN auquel la loi le soumet. Tribunal et, bien sûr manif de soutien. Nos gauchards avaient bien admiré Mesrine...  Qui vole un oeuf, vole un boeuf... On a les héros qu'on mérite...
       Villepin récompense les émeutiers (en particulier les vaillants anti-CPE)  : étudiants anciens et nouveaux (surtout ceux qui ont obtenu le bac d'occasion du sinistre millésime 2006). Pour une allocation, même substantielle (bien sûr, l'UNEF et les autres rapaces trouvent que ce n'est pas suffisant)  les grands veaux sous la mère vont-ils quitter le doux foyer ? Parasite un jour, parasite toujours...
        Les importés malgré nous sont virés du squat... Ils ne veulent pas de l'hôtel que nous leur offrons si gentiment. Toujours généreux avec notre fric, les ministres s'inclinent... Aidés par d'innommables complices, les intrus veulent imposer leur loi. Toujours soutenus par les mêmes voyous irresponsables, ils osent manifester au cri "des papiers pour tous"... La seule réponse à leur faire c'est de leur montrer le chemin des chiottes. Là, il y a toujours du papier, qu'ils s'en démerdent... ou qu'ils se barrent...
       Cons et prétentieux. Ah ces socialos ! Ils ne pouvaient pas se contenter d'un séminaire, (trop calotin sans doute...), d'une assemblée, d'une conférence, etc, etc. Non, voyons, trop vulgaire, ça  fait mieux de se retrouver dans une Université, même d'été, ça fait plus studieux, bande de pseudo-étudiants attardés ! Je sais bien que d'autres partis adoptent la même expression, (aujourd'hui même, par exemple, dans l'Hérault, un petit parti gouvernemental tenait la sienne d'université...). Je sais bien   que le nouveau Littré, ne reculant devant aucun sacrifice, devant aucun pléonasme ("rassemblement... pendant les grandes vacances pour mener ensemble la réflexion")  accueille (après avoir accueilli l'ignoble "nominer") la définition de ce genre de réunion mais ce n'est pas une justification. Rien ne justifie non plus le battage médiatique complice autour de ce rassemblement de vieux ringards qui veulent se refaire une virginité. Rien sinon leur volonté hégémonique et leur ambition totalitaire. On y  va comme on va au cirque, les clowns défilent, promettent et mentent à qui mieux mieux. Depuis 2002, la honte du mensonge ne fait pas rougir la trogne du  jospin de base. Rien de scientifique dans la basse magouille, d'ailleurs l'expression "sciences politiques" m'a toujours fait marrer, (le contenu, j'en ai rien à foutre), fabrique d'inutiles,  même dûment diplômés. Les seules sciences que connaissent vraiment les politiciens très républicains et très démocrates qui tiennent le haut du pavé sont l'arnaque et la corruption...
        Dernière, toute dernière nouvelle : il paraîtrait que le Front National qui voulait avoir aussi la sienne (d'Université d'été, dommage qu'il ne fasse pas preuve de plus d'originalité...) se trouve privé de lieu  de rassemblement (réservation en Arles annulée)... Sur l'ordre de qui ? Qui sont les vrais totalitaires ? J'y pense maintenant : question à un sou : l'histoire des signatures (1000 pour être candidat à la présidentielle)  des élus socialistes réservées sur ordre du jules de miss sondages-et-poitou-charente-réunis  au seul candidat socialiste est-elle plus proche de la liberté de conscience, du "jeu démocratique" ou du néo-stalinisme ?

       Con et prétentieux, ai-je dit ? Le discours de clôture de François-l'insipide-fromage en est l'illustration : "l'élection de 2007 sera aussi historique que celle de 1981", stupide, pas difficile à prévoir, toutes le sont  naturellement "historiques". Le problème c'est ce qui suit l'élection... Et il n'y a rien de particulièrement réjouissant après mai 81, si ce n'est... avril 2002... "le PS n'a pas le droit de perdre", ça veut dire quoi ? Que tous les moyens seront bons pour gagner, même les plus infâmes, les alliances les plus abjectes avec la voyoucratie marxiste and Co, les coups bas, le lynchage  ?  les électeurs n'auraient-ils pas le droit de décider ? slogan qui pourrait bien ne pas leur plaire... et s'il perd, le PS, il se saborde ? Chiche... c'est ça qui serait l'événement historique mais à menteur, menteur et demi... Remarquez, s'il y tient, on peut toujours le dissoudre... On y verrait plus clair.
     
       L'après-guerre du Liban n'en finit pas de finir. On compte les troufions... On cause. On hésite sur leur rôle, presque-chasseurs ou demi-gibier, les soeurs latrines font assaut de magnanimité et se disputent la direction de  l'affaire. On cause. On évite le sujet qui fâche : le désarmement des fous fanatisés. Qui est le seul et véritable enjeu. On apprend que la moitié du contingent de la force onusienne serait fournie par des pays musulmans, aussi pacifiques et tolérants que le Pakistan (on pourrait aussi aller en Afghanistan recruter les déchets des talibans) et que l'armée libanaise comprend un grand nombre de chiites... Chouette cette "force de paix". Avec ça, si Israël n'est pas rassuré...
     
     Il y a, paraît-il, de la fraude jusque dans les appellations supposées les mieux contrôlées...


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    Que sera une existence privée de joies enfantines dès les premières années? Certains êtres humains ne sont jamais jeunes et ils demeurent toute leur vie tels qu'ils sont nés. Ils vivent d'une manière absolument incolore. Ils s'étiolent. Ils ne connaissent jamais l'amour et jamais non plus ils n'en éprouvent le désir. Ce sont des pots de fleurs dans lesquels aucune âme n'a été semée. Mais toute âme humaine croissant normalement doit débuter par une enfance vivace.

    (Une fâcheuse histoire d'amour - H.G. Wells -1866-1946)

    C'est  le 15 et j'ai enfin écrit... quelques petits ajouts dans l'article du 12 +
    dans C'est  aujourd'hui 4 : Mme S. en épouvantail

    le 12/10/2006, dans C'est aujourd'hui 3 : Eduquons, éduquons...

    à la suite de cet article, toujours dans C'est aujourd'hui 3 :
    Magnifique Brigitte, admirable Brigitte
    Vive nous et quelques autres

     


    Humeur du Jour  avec René Barjavel (1911-1985) (bis)


    bonjour, je devais  reprendre le collier  mais...
    Le 26/09/2006,  de ma tête malade est sorti un salmigondis de mots, élucubrations malsaines ou cauchemar de polytraumatisé (léger, léger le traumatisme, pas le mec...) un texte que certains trouveront peut-être aussi limpide que l'Apocalypse (mais beaucoup moins poétique...) :
    dans Imprécations 2,  La nouvelle planète des singes  (fable phantasmagorique)


    Mésaventures de ces dernières semaines :


    le 10/10/2006 : je ne l'ai toujours pas encore vraiment fait. Contrairement à ce que j'avais pensé un instant,  je n'ai pas trouvé le courage d'écrire un nouvel article... et pourtant il y a beaucoup à dire !
    et pendant ce temps, les quelques lecteurs qui m'étaient restés fidèles jusqu'ici commencent à se disperser dans la nature...
    je les comprends mais je le regrette.
    Demain, je ferai un effort, promis, juré...

     avertissement toujours valable : quelques "travaux" (ravalement de façade etc etc) sont en cours.

    certains articles peuvent éventuellement être difficilement lisibles... d'autres même provisoirement inaccessibles depuis la table des matières... toutes mes excuses...

       Septembre, mois privilégié pour ceux qui ne sont plus en activité (professionnelle). Il y a quelques jours, il faisait beau sur la Costa Brava, l'eau était chaude et  il y avait beaucoup moins de monde...
       Donc, après un week-end en Languedoc, j'y retourne...
      Cette "Catalogne du Sud", Maître Po m'a donné envie de la redécouvrir, surtout Barcelone où je n'ai pas mis les pieds depuis plus de vingt ans... Et pourtant cette ville, que l'on me dit complètement transformée, n'est guère qu'à 120 km de ma résidence espagnole... (enfin d'outre-Pyrénées... j'espère que les Catalans, chers à mon coeur, auront tout de même la sagesse de rester dans le Royaume, je crois sincèrement qu'il y va de l'intérêt de tous).
       Je prends donc congé de vous, chers amis, pour un certain temps...
    mais...
       Le "certain temps" est terminé... je remercie ceux qui sont venus sur ce blog pendant mon absence. Je voulais visiter, bricoler, me baigner, pêcher etc etc Je n'ai rien fait de tout cela, le deuxième jour, j'ai voulu bricoler et l'échelle m'a trahi : je me suis fendu la tronche (au sens propre enfin "propre"... comme ça sanguinolait pas mal ma femme m'a reproché d'avoir tout dégueulassé...) et je me suis  défoncé et fêlé quelques côtes (à éviter, ça fait très mal). Les catalans (et ma femme, il faut le reconnaître) m'ont bien soigné. De foutues vacances, des vacances foutues...

    incantations 1
     28   Illusions

    A l’invité
    Qui nous chantait
    Le bon vieux temps
    Tu as répondu
    Le bon vieux temps
    N’est pas vingt ans
    De nos grand-pères
    Il nous a dit
    ça me suffit
    Car il savait
    Cet invité
    Qu’en nous parlant
    Du bon vieux temps
    Il caressait
    Du pieux passé
    Une chimère
    Son bon vieux temps
    Tout âge a eu
    Le mien le tien
    Le nôtre
    Celui des autres
    Serait ainsi
    Entre nos mains
    Je ne veux rien

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    **********

    29   Prétention


    En arrière,
    Dans le temps ; j’ai parcouru.
    Sur un devoir perdu,
    La poésie n’est pas la connaissance de la terre.

    Un voyage insoumis.
    Mais sous la voie lactée
    Se perd la voie des jeux maudits :
    Je n’ai pas vu de caryophyllées.

    Cette croix si douce au souvenir,
    Pour une courbe mal tracée.
    Poésie qui nous fuit, mon étoile envolée,
    Choisir et je te veux choisir.

    Mon opium divin,
    Qui croira cette adresse !
    Je ne dors, je m’abaisse,
    A te caresser on s’arrache les mains.
    Givre de poux.
    Opium existentiellement
    Soporifique de nos amours charnelles…

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    **********


    30   Les cendres


    Et ces pointes de fer se croisent sur tes seins,
    Tes hanches, la peau nue
    Mon corps et ta fraîcheur venue ;
    Sur mon corps, tes deux mains.


    Bénissons Dieu qu’il t’ait donné des doigts…
    Je suis bien,
    Près des draps.
    De la terre
    Est restée sur mes paumes.
    Je serre
    La pointe de tes seins,
    Tu aimes y sentir du froid.


    L’être impur que je suis
    T’adore
    Mais il pense à la mort
    Qui nous suit,
    Quand il n’aura plus tes mains
    Pour renaître.
    Et la nouvelle vie…
    Le grand vide,
    Plus rien…

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     **********

    31   Gâteries

    Chats d’ivoire
    Poilus de velours et de fiel
    Dans un ciel de lit mon armoire
    Des chats dans le ciel

    Bêtes de paradis
    Choses infernales
    D’obsession, de maudit
    Défiez la fureur navale

    Bijoux innocents
    De vos yeux calmes
    Où brillent les feux de vos sangs
    Dévoreurs de cygnes sans leurs palmes…

    Cheveux aimés
    Raison de douceur de luxure
    De volupté
    Viol d’une âme pure
    Tous ces chats nous griffaient

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     **********                                                                                                       


    32   Réflexions amoureuses   (sur un entracte de bal)


    J’avais envie
    De manger des œufs blancs
    A la sauce ;
    Je n’en ai pas goûté…
    Que penser des bossus
    Précoces…
    Un jour tu me l’as dit.
    Demain…
    Un banc est un banc.
    Non, un banc n’est pas notre destin

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    **********                                                                                                                   

     
    33   Chasseur

    Il me lasse
    Eveillé ou dormant
    Quand il chasse
    D’un arc troublant

    Tantôt lui tantôt moi
    Tirons sur cette flèche
    Rien ne part bien des fois
    Mais on sent des sueurs fraîches

    O jeu qu’adoraient nos pères
    Pourquoi me poursuis-tu
    Toujours espoir perdu
    N’y a-t-il donc plus rien à faire

    Choisis une autre arbalète
    Moi je vais dans mon lit
    Sur l'oreiller tout blanc j'ai dit
    Un jour tu en perdras la tête



    imprécations 1

       30    Légèretés

          Si voulez moultes caresses
          Il  vous faut  ce jourd’hui
          Brûler, tuer, faire grand bruit.

          On vous fera promesses,
          On vous offrira son cœur,
          Surtout si venez d’ailleurs…

          Si vous crachez dans la soupe,
          On vous offrira la coupe
          Du vainqueur.

          Mais pleine est notre coupe...

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          **********
          31    Bagatelles pour un instant
          
          (Au feu)
          
           Les socialos font la synthèse,
          Toujours contre, jamais pour.
          Les cocos soufflent sur la braise,
          Espérant rallumer le four…
          
          Les syndicats lancent la grève
          Et s’en foutent si le pays crève,
          Ça va mieux quand ça va mal :
          Pourvu qu’on garde nos avantages…
          Les doigts sont pris dans l’engrenage,
          Pour le pays c’est fatal…
          
          « Plutôt la mort que le capital »
          Aurait dit un grand personnage…
          Ça veut rien dire mais c’est normal :
          A gauche,
          C’est vraiment moche,
          On se paie de mots,
          On joue avec les maux
          Des autres…
          
          Salut, les bons apôtres !


           
        C'est aujourd'hui 2

    23  terrorisme et socialisme...

     Quand les socialos (ou leurs homologues, avec éventuellement des alliés plus ou moins rouges, plus ou moins verts ) arrivent au pouvoir, le terrorisme le plus abject est sûr de gagner ou de devenir interlocuteur respectable...
     On l'a vu naguère en Irlande, on le voit aujourd'hui en Espagne.
     Le paillasse rigolard au nom de vieille godasse qui sert de Premier Ministre de l'autre côté des  Pyrénées a dédidé d'engager des négociations avec l'ETA aux innombrables crimes...
     Parvenu aux commandes en profitant du bain de sang d'un attentat monstrueux, le  joufflu hilare veut contribuer au démembrement de son pays, à la quasi-disparition d'un grand Etat européen.
     Il a commencé avec la Catalogne et sa "Gauche Républicaine ( ?! ) Catalane"...
     Il est sur la bonne voie...
     La Chine communiste soutient l'Iran du fou-président. (La Russie aussi mais Putin -comme écrivent les Anglo-Saxons- n'a jamais trop su où il était... Dans ce pays, les relents de vodka imprègnent fortement l'air ambiant)... 
     Au nom d'idéologies périmées, partout où passent ces vieux apprentis sorciers,  il ne reste que de la fange.
     Si la France, dans la situation actuelle, voyait la victoire d'un semblable zozo quelle merde profonde ferait-il remonter ?
     La racaille anti-française, anti-chrétienne, anti-occidentale, déjà beaucoup trop présente, déjà passablement choyée, aurait toute liberté d'action. Les voyous triomphants...
     Il est là, chez eux, aujourd'hui ce fameux "ventre encore fécond d'où est sortie la bête immonde".
     Il s'en gargarisent de ces expressions "révolutionnaires", des slogans frelatés.
     A vomir...
     Mais nous pouvons les retourner contre eux.
     
     La bête immonde est dans leur camp.

     Reconquista

    Bouteilles à la mer...

    (dernière tentative, hasardeuse, pour joindre quelqu'un, si Mme F. C. vient encore parfois sur mon site...)

    voici un  commentaire reçu d'elle après un de mes articles quelque peu polémique...
    le ton est agréablement agressif et je l'ai trouvé intéressant :

    " bonjour....
    j'ai bien essayé de laisser un commentaire à la suite de "étrange marseillaise"...mais votre verve reste seule en ligne...Je vous vouvoies, c'est rare sur un blog, mais votre "ton", votre" hargne" m'y oblige...est-ce simplement par provocation ? ou vous pensez réellement tout ce que vous écrivez ? je ne reviendrai pas sur "tous" vos écrits...libre à vous, de vous exprimer...toutefois les coups de griffes récurrents sur les professeurs, les instituteurs (oui ce n'est pas une affaire d'état si on les appelle encore comme cela, et pour votre gouverne, bon nombre ne sont pas "professeurs des écoles" !!!), me font réagir, d'autant que je  n'exerce pas ce métier...mais depuis bientôt 18 ans j'interviens dans les écoles, collèges, lycées...qu'ils soient publics ou privés (la différence a l'air d'avoir de l'importance pour vous)...et plus les années passent, plus je les admire(les enseignants!!!)...tous autant qu'ils sont...parceque contrairement à beaucoup(de parents, de "juges", de retraités, d'observateurs extérieurs...), je sais ce qu'est une classe d'élèves..."vu de l'intérieur"...et arrêtons de stigmatiser les élèves en difficulté, ou dans les quartiers difficiles, les enfants de personnes de catégories socioprofessionnelles supérieures sont "méprisants", "consommateurs", et pas obligatoirement plus "agréable" que d'autres...je pense donc que le "problème" est beaucoup plus grave qu'on veut bien le dire, et il est trop facile de "tout" mettre sur le dos des enseignants...
    voilà, monsieur, un autre avis, un autre point de vue...moins agressif, je pense, en tout cas, j'essaie de toujours de garder de la distance avec ce qui m'entoure...à retenir : le "groupe" de jeunes est souvent ingérable aujourd'hui (ou trés difficile), par contre l'individualité reste toujours aussi "douce" et riche...oui mais nous vivons bien en groupe !!! "

    F.C.(la personne a signé de son nom)


    Madame,

    voici deux réponses successives que j'ai voulu vous faire parvenir... mais sans être sûr d'avoir abouti, la première était un peu "instinctive" (oubliez-la si elle vous blesse par son ironie déplacée), la deuxième plus réfléchie...

    ce n'est qu'après bien des recherches que j'ai trouvé l'adresse que j'utilise aujourd'hui...


    1ère réponse :

    Bonsoir Madame,

     Etes-vous bien réelle ou un fantôme ? Quand j'essaie d'aller sur votre site, on me dit que le blog spectacl.vivant.over-blog.com n'existe pas... Si je peux lire votre prose c'est évidemment que vous êtes parvenue à me joindre ! je ne comprends pas votre diatribe sur la solitude de ma "verve". Y a-t-il eu un incident technique ? Je n'y suis pour rien...
     Mais pour le reste j'assume.
     J'ai passé 42 ans dans la maison Education Nationale : maître d'Internat (pour payer mes études), Maître Auxiliaire, Professeur (de lettres) en C.E.T  (type d'établissements qui deviendront Lycées Professionnels) puis j'accède à la direction d'un collège. Vous pensez si votre petite leçon sur Instituteurs/Professeurs de Collège (ou des écoles, lapsus) m'a bien amusé... Je connais aussi l'enseignement privé  (que je préfère appeler Enseignement Libre), l'essentiel de ma scolarité s'étant déroulé dans ce cadre... Je ne veux pas vous inciter à lire mes "oeuvres" mais vous comprendriez peut-être certains éléments... même si j'appelle ça "affabulations", il y a beaucoup de moi-même...
     Si je m'en prends de façon "récurrente" aux enseignants c'est parce qu'il y a deux ou trois choses que je ne supporte pas  : la manipulation (on en a eu des exemples très récents, et dans ma carrière j'ai vu des élèves de 6ème manifester pour le maintien des sursis étudiants ! spontanément n'est-ce pas ?)... l'hypocrisie (des intérêts personnels ou corporatistes ou pire, bassement politiciens, camouflés sous des colifichets humanitaires) et enfin l'immobilisme  qui rend toute vraie réforme impossible...
    Soyez rassurée, doublement rassurée : j'arrête là mon laïus et sachez que je ne m'attaque pas qu'aux enseignants : tout le monde en prend pour son grade...
    Merci de m'avoir écrit...
    Merci de m'avoir lu
    Respectueusement  JMM


    2ème courrier :

    Bonjour Madame,

     Vous trouverez certainement ma démarche bizarre, indécente ou... plus probablement sans intérêt. J'ai réussi à vous retrouver... Votre site était inaccessible par la trace que vous aviez laissée (site web) à la fin de votre commentaire du 28/4/2006 (J'espère que vous avez bien reçu ma réponse et qu'elle ne vous a pas froissée...). J'ai pensé à Google et ça a marché*...
     Pourquoi vous écrire ? Ce n'est ni harcèlement (si vous le désirez, ceci sera, bien sûr, mon dernier courrier ) ni tentative de justification... peut-être d'explication...
     J'étais curieux de savoir ce que vous faisiez auprès des enseignants et j'apprécie beaucoup ce que vous accomplissez. Au cours de ma carrière, j'ai souvent travaillé avec des intervenants extérieurs, comédiens, écrivains, professionnels en tout genre venus parler aux élèves de leur métier ou de leur passion et nous avons toujours eu d'excellentes relations.
     Je n'aime pas savoir que des gens (et à plus forte raison des gens que j'estime) ont une idée de moi entièrement négative. Je crois avoir compris que mes prises de position en général sont pour le moins très éloignées des vôtres. Je me dis ouvertement et sans complexe "de droite", monarchiste, conservateur, réactionnaire même... Mais vous avez deviné la part de provocation inhérente à toute satire, j'aime faire réagir, je regrette si cela peut parfois blesser. Je suis sincère dans mes écrits relevant plus ou moins du pamphlet, mais il faut comprendre que l'on ne peut s'en prendre, dans ce genre, qu'aux parties sombres de l'objet "étudié". Il est en effet inutile d'ajouter des louanges aux louanges. Toute personne attaquée a le droit de se défendre ou d'avoir un défenseur et vous tenez fort bien ce rôle en ce qui concerne le corps enseignant.  Je suis absolument opposé à toute forme de censure. Il m'aurait été facile d'interdire les commentaires dans mon site. Le confrontation des idées permet le progrès...
     Trêve de lieux communs et de tartes à la crème...

     J'aimerais (mais ce n'est qu'un voeu pieux) que vous passiez quelques minutes à lire, dans ce que j'ai intitulé "affabulations", certaines de mes "petites aventures", politiques et professionnelles en particulier. Vous verriez que mon cheminement n'est pas simple... et il n'est pas terminé, bien que terriblement "entamé"...
     En vous demandant d'excuser la liberté que j'ai prise de vous écrire ainsi, je vous souhaite une parfaite réussite dans vos activités.

    Bon courage
    Très respectueusement

    JMM

    * google m'a fourni l'adresse d'un blog mais celles des e-mails ne fonctionnent toujours pas...

     

     

     

     


     

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