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    extrait de mon article au sujet des affaires Mis-Thiennot et Gregory

    "Je ne vois guère que la police et l’armée (mais je n’ai pas de goût particulier pour les bruits de bottes) qui méritent le respect parce que composées de gens qui risquent par principe, par « nature », leur vie sans en tirer profit.

     


    P etite anecdote, Grande Histoire...


    Chaque fois que je lis cette affimation empruntée à la tradition républicaine de la guerre d'Espagne : "NO PASARAN" je ne peux m'empêcher de sourire en pensant à d'une situation plutôt cocasse dans laquelle je me suis trouvé il y a assez longtemps, au cours d'un séjour en Catalogne.
    C'était pendant une période électorale...
    A côté d'une grande surface, je vois sur un immense panneau  une affiche représentant quelques jeunes filles en maillot, dans l'eau jusqu'à la taille, image accompagnée d'un slogan en  énormes lettres rouges "NO PASA NADA".
    Sans réfléchir, je dis aux amis qui m'accompagnaient, un truc du genre "Encore ces élections...".
    Grosse surprise, un immense éclat de rire accueille mon propos.
    Je ne comprends pas... cette réaction me déroute, mon talent comique est d'ordinaire assez limité (aussi limité que ma connaissance de la langue espagnole à l'époque... et aujourd'hui encore d'ailleurs).
    Au milieu de la joie générale, je  regarde plus attentivement l'affiche en question et, à ma grande confusion, je constate qu'il s'agit en réalité d'une publicité pour des tampons périodiques. Avec ou sans applicateur, je ne m'en souviens plus...
    Nom de Zeus, quel bon moment ils ont passé, les copains ! On en rigole encore parfois, à l'occasion...
    Enfin, ceux qui restent rigolent... les autres nous attendent en d'autres lieux incertains, en se marrant aussi, j'espère...

     




    Pas de morale à ce qui n'est pas une fable... mais  simplement ceci :
    Un de mes anciens professeurs toulousains, Bartholomé Bennassar, venant de publier un important ouvrage sur la guerre d'Espagne (**), (après une remarquable biographie de Franco), dans laquelle, bien que n'étant pas particulièrement favorable au camp nationaliste, il remet quelques pendules à l'heure(***), je reviendai peut-être prochainement sur cette période...

     
    * 

     
    * 

    Pas besoin de traduction, je suppose...
    ** "
    La guerre d’Espagne et ses lendemains", Ed. Perrin, 2004
    ***
    Hugh Thomas avait déjà entrouvert la porte vers une vision plus saine des choses (la Guerre d'Espagne, ouvrage publié dans Le Livre de Poche)

    N'allez surtout pas chercher Malraux ou  Bernanos ni même Hemingway... Un peu de poésie, du roman...
    José Maria Gironella est  plus fréquentable. Son titre  est magnifique "Les cyprés croient en Dieu", magnifique, au moins autant que "Les grands cimetières sous la lune"...

    **********

    Et si on rigolait un peu… Histoires de b… et de b…

     
     Ce qu’il y a de bien avec mes histoires de blondes ou de belges, c’est qu’il n’y a le plus souvent ni blondes ni belges… Ou alors, pour ces pauvres belges, c’était, une ou deux fois, la faute à Baudelaire (Amœnitates Belgicæ)

     « On me demande une épitaphe
    Pour la Belgique morte. En vain
    Je creuse, et je rue et je piaffe ;
    Je ne trouve qu’un mot : Enfin ! »

    Bof…

    J’ai relu un album des Pieds Nickelés et, par ailleurs j’ai redécouvert un mot : Coquecigrue (personne qui ne dit que des balivernes – cf le nouveau Littré)
    Mon cher trio m’a donné une idée : et si je m’inspirais de leurs aventures et de leur faciès pour m’en prendre (une fois de plus) aux candidats du PS ? Sans raison, comme ça… C’est vrai qu’il s’agissait de malfaiteurs mais particulièrement sympathiques… Les autres… ouais…

    Il y a Coquecigrue Croquignol. La miss seccotine  des chèvres poitevines s’appelle bien Royal, je ne vois par pourquoi je ferai davantage l’accord de croquignol… Elle nous a assez emmerdé quand elle jouait les (in)utilités à l’Education Nationale  avec ses exigences  ridicules : Mme la Proviseure  ou la Professeure... D’ailleurs son maître à danser, le savantasse volcanique Alègre qui n’a pas lui non plus un souvenir impérissable du passage de la donzelle a déclaré récemment et allègrement que le bureau de Mme S. était en permanence dans un désordre indescriptible. (Alègre ment ? Il y avait déjà Chevènement… ouais rebof…).
    S… Ségolène-la-pagaille ? On avait déjà entendu parler de ses grandes colères, à faire pipi par terre et à se rouler dedans,  mais l’un plus l’autre, ça fait beaucoup… Aux quelques zozos  (des milliers ou des millions) prêts à courir le risque de la loger à l’Elysée, je dirai, à la façon d’Hugo apostrophant Badinguet : « Moi, je te montrerai, Césarine, ton cabanon*… »
    Et puis il y a les deux autres : DSK-Ribouldingue avec sa casserole frappée du sceau de la Mutuelle des Etudiants et la pince-à-linge sur le nez afin de ne pas sentir l’odeur sui generis (il l’y a oubliée, la pince, depuis 2002)… Et Fabius-Filochard traînant sa perfusion de sang contaminé et le micro ordinateur Thomson du plan informatique pour tous, si cher aux contribuables  français… Ce Filochard est à lui tout seul la gauche-caviar aujourd’hui déguisée en extrême-gauche révolutionnaire par  la grâce d’un débile référendum chiraquien…
    Le Che Filochard c’est du bon lard…
    rerebof !
    J’aimerai dessiner les mésaventures de ces trois guignols, à la manière d’Herbe de Provence mais je n’ai aucun talent dans ce domaine…
    Les mauvaises langues diront que je n’en ai pas tellement plus ailleurs… 
    Faut bien  rigoler !

    Un autre sujet de franche rigolade : le Bovidé du Larzac, le José modifié par sa grande bravoure et sa haute moustache** (n’importe quoi, le virus hugolien…) s’est fait faire aux pattes. Ses sbires ravageant un champ de céréales-OGM, le propriétaire du pauvre champ s’est cru obligé de chasser les intrus malfaisants en tirant dans leur direction un coup d’escopette. Le fumant José  (il fume la pipe, c’est bien écolo, ça , madame ? vous allez voir, il va bientôt défendre les malheureux buralistes…), le grand tonitruant se rend donc à la gendarmerie pour porter plainte (pour se faire voir, étant donné que ses sous-fifres, l’avaient  déjà déposée, la plainte). Il s’est fait voir et avoir ! Les gendarmes, bien inspirés l’ont foutu au placard… en garde-à-vue !

    Ça va pas durer longtemps (Chirac ou un ministricule lui présentera bien des excuses) mais c’est toujours ça de pris.


    La cause est de mieux en mieux défendue.
    On a les martyrs qu’on peut…

     

     * Victor Hugo (Les Châtiments)... cabanon : au XIX ème siècle, endroit où l'on enfermait les fous dangereux
    ** voir du même Hugo "Après la bataille" (La légende des siècles)


    **********
    Valse-hésitation ou l'envie de dire ou de redire n'importe quoi...

     

      J'ai ouvert un nouveau blog (livre de bord) destiné, en principe, à accueillir les copies des  pages intitulées "Journal de la traversée" de mon site actuel mais depuis quelque temps, je m'interroge... Ouvrir un second blog offre beaucoup de possibilités. Mais... 
     Rien n'est encore décidé, r
    ien n'est encore fait.
     Bof...
     Mais comme il y a tout de même de rares (très rares... ) visiteurs sur ce nouveau blog, je suis contraint de donner quelques explications (même si beaucoup d'entre vous s'en moquent royalement... )
     Si je l'ai ouvert, ce n'est pas seulement pour occuper le terrain (stupide cette remarque) c'est tout simplement pour ne pas surcharger le premier, je pense qu'il l'est déjà assez : trop d'articles, trop longs, manque apparent d'unité... désordre pour ne pas dire pagaille, chantier ouvert mais dont l'achèvement est continuellement remis en cause
    (ah, ces amateurs ! ah, ces artisans ! quand on a besoin d'eux... etc, etc. Quand le professionnel (un fort gentil modérateur en l'occurrence) est prêt, c'est moi qui ne le suis plus et vice-versa (non ,j'exagère, il est toujours là, je dis n'importe quoi pour le plaisir d'ajouter des mots aux mots - normal avec ce titre - il a amplement mérité ses vacances...). 
      Ajouter des mots aux mots, pour parodier François-Marie (Arouet) : "Ecrivez, écrivez, il en restera toujours quelque chose..."
     Tiens, tant que j'y suis, à écrire n'importe quoi, allons jusqu'au bout... ça me rappelle une petite histoire, certainement connue de la plupart de mes visiteurs, mais que j'aime bien. Un talentueux amuseur public la racontait il y a déjà longtemps (peut-être est-ce l'Alsacien  Roger Siffert, mais je n'en suis pas sûr...)
      Voici :
      Un Alsacien vient de mourir. Il arrive devant saint Pierre qui le repousse poliment et l'envoie... en enfer. Un bon petit diable le reçoit fort civilement, très chaudement, et lui dit :
    " comme vous êtes Alsacien, vous avez le choix entre l'enfer français et l'enfer allemand...
    - quelle est la différence ?
    - dans l'enfer français, vous êtes dans la merde jusqu'au cou et chaque jour  vous recevez cent coups de bâton
    - et l'enfer allemand ?
    - vous êtes dans la merde jusqu'au cou et chaque jour  vous recevez cent coups de bâton
    - mais, alors, c'est pareil... Qu'est-ce que vous me conseillez ?
    - moi, je vous conseille l'enfer français, vous les connaissez : un jour, ils ont perdu le bâton, le lendemain, ils manquent de merde..."
     Aucun rapport avec le sujet ? Evidemment,  avec quel sujet, d'abord ? Il n'y en a pas...
     Si, mon but... Mettre de l'ordre, ici comme partout, nettoyer .
     En réalité, je veux me donner de l'air.
     Je placerai peut-être dans cet autre blog des réflexions qui n'ont rien à voir avec ma "traversée de la passion". Je me demande d'ailleurs de plus en plus souvent de quelle passion il pouvait bien s'agir quand j'ai choisi cette expression... Je plaisante ? à peine. A vous de deviner... vous vous en fichez ? vous avez bien raison. A part la passion de la famille, du pays et des points de suspension... Non,  là je plaisante (à demi). Je tiens à la fidélité de mes lecteurs...
        Si je décidais d'utiliser ce blog,
      je déplacerais vers lui des articles ou des parties d'articles...  Mettre de l'ordre, nettoyer et éliminer vermines et mauvaises herbes  (DDT ou Gaucho, kärcher ou lance-flammes, napalm ou sale bombe sale) justifier mon titre auto-attribué et si peu anglo-saxon (WASP) de "bugkiller"...
      Si j'étais méchant  (bête et méchant), j'intitulerais un des mes prochains articles "le couperet". 
      Je le ferai, sûr...


    ******************************

    un discours accidenté

     Invité au festin donné par mes cousins à l'occasion de leur 40 ème anniversaire de mariage, j'ai été pris de court et je n'ai pu qu'improviser un petit discours... un discours quelque peu perturbé !

     En voici le texte :

     Ma chère cousine, mon cher cousin,

    Je suis au regret de vous annoncer que je n'ai pas pu écrire de poème. Vous serez donc privés d'épithalame (d'émeraude). Je vais vous expliquer pourquoi, mais soyez rassurés, vous aurez à la place un discours particulièrement emmerdant et une histoire pas très drôle...
    ??? !!!
    M'enfin !
    je n'ai pas la berlue, c'est bien ce que je lis... ça, c'est certainement un coup de mon petit fils, il s'est amusé pendant la nuit à trafiquer mon brouillon...
     
    donc, excusez-moi, un discours passionnant et une histoire amusante...
    Si je n'ai pu écrire de poème, c'est parce que les dieux de l'Olympe ont fermé pour moi le robinet de l'inspiration et m'ont privé à jamais de poésie. En voici la raison :
    j'ai essayé de chatouiller la muse de la poésie (Andrée, ma chère épouse, chatouiller, ce n'est pas tromper,  d'ailleurs à notre âge, chatouiller, c'est à peu près tout ce qu'on peut faire...)

    Nom de dieu, Brian, jeune idiot, c'est un manque de respect caractérisé ! Je t'interdis désormais de t'occuper des activités sexuelles de tes ancêtres, que ce soit celles de tes vieilles tantes ou de tes grands-parents !
    Je voulais donc chatouiller la Muse, mais avant de chatouiller quelqu'un, la moindre des choses, c'est de connaître son nom... 
    et je ne me souvenais plus du nom de la Muse de la poésie.
    Prosper baise Euterpe

    ??? !!!
    je suis bien content pour Prosper mais qu'est-ce qu'il vient foutre ici ? Je devais être complètement bourré quand j'ai écrit ça... ou alors, c'est encore lui ! Brian ,tu me le paieras... C'est du sabotage !
    Ah, voici la suite : Proserpine et Euterpe ! Je n'étais pas sûr de ces noms, alors j'en cherchai un à consonance bien grecque... Pour mon malheur, j'en trouvai un qui me plût assez : clitoris. Alors, pauvre de moi, Zeus,  le barbu d'Al Qaïda (putain de gosse !) le roi des dieux qui manie le foudre, Zeus s'est déchaîné : j'avais attenté à l'honneur de sa moukhère (Brian, y en a marre !), à l'honneur de sa fille ou de sa soeur, sais plus... Du coup, me voilà privé de poésie...
    Je me suis dit, je vais raconter une histoire, une histoire de jeune mariés que je ferai passer pour des confidences de mes cousins mais je n'ai pas osé aller jusque là. Cette histoire parle d'EDF :
    "C'est un belge qui discute avec sa femme belge...
    Ah non ! c'est pas possible, c'est pas celle-là, ils m'ont mélangé les pages...
    J'y suis : Deux jeunes mariés. Le mari rentre du travail. Sa femme lui dit aussitôt :
    "Chéri, une nouvelle magnifique, je suis en retard d'un mois, j'ai vu le docteur, je crois que nous allons avoir un bébé.
    - j'en suis très heureux mais pour le moment, il ne faut rien dire à personne..."
    Le lendemain, un agent de l'EDF se présente chez eux. La jeune femme le reçoit sur le pas de la porte.
    "Mme Durand ? Vous avez un retard d'un mois...
    - Comment le savez-vous ? Qui vous l'a dit ?
    - C'est noté par  nos services administratifs...
    - Comment ça ! c'est même écrit dans vos registres ?
    - tout à fait..."
    La jeune femme, ahurie, referme la porte sans lui laisser le temps de placer un mot de plus...
    Le soir, quand son mari rentre, elle lui raconte sa mésaventure. Le matin suivant, très en colère, il se rend aux bureaux de l'EDF.
    "Comment se fait-il que vous ayez noté que ma femme avait un mois de retard ? ça ne vous regarde pas !
    - mais si, ça nous regarde. Calmez-vous, on va arranger ça, vous n'avez qu'à l'acquitter et on en restera là...
    - la quitter mais vous n'y pensez pas, jamais de la vie...
    - si vous refusez de l'acquitter, on va vous la couper...
    - Quoi ? vous êtes fou ! me la couper ! et comment on va faire alors ?
    - je ne sais pas, vous n'avez qu'à faire avec une bougie..."
    (Bof... Ouais... je sais, c'est un peu con...)
    Chers cousins,
    Vous êtes ici, aujourd'hui, entourés  de vos nombreux enfants et petits-enfants...
    On n'a heureusement pas tranché dans le vif !
    A bientôt, à vos noces, d'or...

     
     
     

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